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Transposition
Installation artistique | Art installation - 2016
Thème | Theme : Les villes invisibles.
Par DEVISMES Dorian, GIROUX Vanessa, L'HEUDE Geoffrey, LABBE Sébastien, RENOIS Théo et SEILLER Marie
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La ville est un répertoire de formes et de matières, elle est composée de nombreux détails qui forment une globalité. Ces détails échappent à notre lecture visuelle, on ne la perçoit que dans son entièreté. Pourtant ces détails influent sur notre environnement, ils créent l’ambiance, donc l’identité d’un lieu et jouent sur notre perception indirecte. Notre idée est de révéler l’empreinte de la matière dans son dessin le plus fidèle afin de créer une image par un procédé d’actualisation de la virtualité. Il s’agit de procéder à une mise en acte du réel par le contact direct avec le matériau. L’idée de rendre perceptibles les signaux qui participent à l’identité de la ville passe par une technique de prise d’empreintes de plusieurs morceaux de la ville. La démarche s’achève par une mise en corrélation de ces identités pour enfin recomposer un ensemble. Il ne s’agit pas là d’une volonté de représentation, mais de la mise en évidence de la trace littérale de la ville sur un support. L’installation exprime la mémoire de différents lieux. Elle expose une multiplicité d’identités qui renvoie à un environnement fictif. Ce dernier se détache, dans sa globalité, de la réalité intrinsèque. Le support choisi pour relever l’empreinte doit d’être le moins présent possible et créer un assez fort contraste avec le travail d’empreinte et créer une réversibilité pouvant amener à une déambulation. L’installation est en suspension comme un détachement à la réalité, une suggestion de l’infini.
La ville est un répertoire de formes et de matières, elle est composée de nombreux détails qui forment une globalité. Ces détails échappent à notre lecture visuelle, on ne la perçoit que dans son entièreté. Pourtant ces détails influent sur notre environnement, ils créent l’ambiance, donc l’identité d’un lieu et jouent sur notre perception indirecte. Notre idée est de révéler l’empreinte de la matière dans son dessin le plus fidèle afin de créer une image par un procédé d’actualisation de la virtualité. Il s’agit de procéder à une mise en acte du réel par le contact direct avec le matériau. L’idée de rendre perceptibles les signaux qui participent à l’identité de la ville passe par une technique de prise d’empreintes de plusieurs morceaux de la ville. La démarche s’achève par une mise en corrélation de ces identités pour enfin recomposer un ensemble. Il ne s’agit pas là d’une volonté de représentation, mais de la mise en évidence de la trace littérale de la ville sur un support. L’installation exprime la mémoire de différents lieux. Elle expose une multiplicité d’identités qui renvoie à un environnement fictif. Ce dernier se détache, dans sa globalité, de la réalité intrinsèque. Le support choisi pour relever l’empreinte doit d’être le moins présent possible et créer un assez fort contraste avec le travail d’empreinte et créer une réversibilité pouvant amener à une déambulation. L’installation est en suspension comme un détachement à la réalité, une suggestion de l’infini.